Bonjour à tous, aujourd’hui mercredi 8 janvier 2020, je vous propose le tout premier article consacré à une série TV de l’année. A ce propos j’espère pouvoir vous proposer plus d’articles de ce genre dans l’année à venir, mais je vous reparlerai de ça dans mes bonnes résolutions de 2020 dans l’article qui paraîtra samedi !
Mais avant d’en arriver là, je vous propose de retrouver mon avis sur la troisième saison de The Crown.
Grande-Bretagne, de 1964 à 1972. La Reine Elisabeth II fait face à des événements majeurs de l’histoire britannique comme l’affaire de Princesse Margaret avec Roddy Llewellyn. Elle voit l’ascension politique de Margaret Thatcher et l’introduction de la future Camilla Parker Bowles dans la vie de son fils, Charles.
J’attendais cette nouvelle saison avec beaucoup d’impatience, cependant je vais être honnête avec vous, je l’a craignais aussi beaucoup étant donné que cette série a la particularité de voir son casting évoluer au fur et à mesure, de manière à coller au mieux au vieillissement des personnages qui y sont représentés (pour rappel la famille royale d’Angleterre et son entourage proche ou non).
Quand j’ai visionné le premier épisode, la douce Claire Foy et l’envoûtant Matt Smith m’ont terriblement manqué, mais au fur et à mesure que les épisodes passaient, je me suis faite aux nouveaux acteurs qui incarnent Elisabeth II (Olivia Colman) et le Prince Philip (Tobias Menzies), ils jouent tous deux très bien. A ce propos, je tenais également à vous faire part de mon ravissement face au jeu d’Helena Bonham Carter, je ne l’attendais pas du tout dans un rôle comme celui de la Princesse Margaret, mais elle m’a agréablement surprise, et croyez moi, ça l’a change de cette folle dingue de Beatrix Potter 😉
Cette nouvelle saison me semble plus incisive que les deux précédentes, elle aborde des thèmes relativement durs, notamment la réaction tardive de la Reine lors de la catastrophe d’Aberfan ou encore l’épisode consacré au Prince Charles, quand celui-ci est envoyé au Pays de Galles pour tenter d’apaiser les relations entre les deux nations, le jeune prince est alors clairement utilisé comme un outil de communication à des fins politiques.